En guise de prélude, la scène – avec des ceps de vigne comme seul décor – est infusée d’une lumière glaciale et de sons spatiaux, on est au cœur de l’hiver.
Place ensuite à la traversés des saisons de vie d'une de ces femmes qui existent dans l'ombre en naviguant entre solitude, joie de vie, exaltation et introspection.

Danser pour se donner du courage, chanter pour transcender le travail, chercher des réponses dans le vin ou dans la poésie.
La question de la liberté se pose dans un univers où presque tout est prévisible, répétitif, chaque geste de travail, chaque tâche, chaque saison de l’année, chaque phase de vie, de la naissance jusqu’à la mort. Est-ce que la liberté n’est pas une illusion ou réservée à certain.e.s? Est-ce qu’elle ne se trouve pas dans l’air qui remplit chaque maille du tissu de nos existences ?

Les chants, accompagnés de la harpe, emportent dans d'autres dimensions temporelles. La harpe dans ce spectacle est plus qu’un instrument de musique, elle est partenaire de vie, de danse et ses sonorités sont explorées jusqu'à la limite du bruyant exaltant et du percussif.
Un spectacle hybride, à fleur de peau sur une bande de son d’inspirations classiques,

électroniques et ethniques.​

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